Je vous donne mon avis totalement personnel sur la recherche du patrimoine génétique d'un reproducteur et sur son identification génétique et son importance.

Pour le berger allemand aucune des maladies génétiques comme la dysplasie ne peut être recherchées par une prélèvement d'ADN, seul l'intéraction médicamenteuse peut l'être. J'ai choisi de tester mes mâles pour que mes familles aient la certitude que leur p'tit loup soit un fils de son père.

Comme vous avez pu comprendre en lisant mes actualités, les incidents arrivent, et même si ce n'est pas non plus d'une gravité extrème, tant que l'on respecte en tant qu'éleveur et que l'on assume ses "conneries" l'on peut dormir sereinement. Imaginez, haslan avec deux mois de plus, passe sous le nez de fangio et va séduire la belle daytona dans son parc... il existe une injection qu'un vétérinaire peut administrer à la chienne, mais elle n'est pas sans risque pour la femelle. Voilà ou l'importance du test ADN se démontre. Pour assurer la filiation, à l'Eriador vous pourrez vérifier si votre chiot est un fils de fangio, et même si vous trouvez qu'il a les yeux d'un autre de mes chiens ce sera tout simplement parce que les deux étalons sont frères ou père et fils.

Dans le cas d'hosanne la recherche génétique m'a prouvé que j'avais tort, mon bb"ho" était bien une fille de Canto et m'a prouvé aussi que la dysplasie était belle et bien un fléau qui est retransmis par des reproducteurs sains, et que certains mariages pouvaient ressortir un cas grave comme hosanne et sa dysplasie hanches et 1 coude. Mes femelles ne sont et ne seront pas testées car mes familles viennent régulièrement voir leur loulou et n'auront aucun doute sur la maman de leur chiot. L'élevage en liberté et en meute n'a pas que des avantages, il est certain que les barreaux de chenil assurent à l'éleveur qu'un mâle ne peut séduire la femelle, sinon ce serait une fraude volontaire, mais mes convictions de l'élevage me sont propres et le chenil est banni à l'Eriador.